Un tract est actuellement diffusé dans les boites aux lettres clichoises. Il est sans ambiguité !
Un seul candidat est soutenu par l'UMP et Nicolas SARKOZY.
Les élus municipaux UMP de Clichy le rappellent à tous les électeurs clichois qui veulent un vrai changement dans notre ville :
A Clichy, un seul vote est utile ; il faut élire en masse Patrick BALKANY !!!
Ségolène ROYAL : 37,71%, Nicolas SARKOZY : 26,06%.
Retrouvez tous les résultats du premier tour des élections présidentielles 2007 à clichy, ici
Plus de 11,3 millions de français ont dit OUI à Nicolas SARKOZY ce dimanche 22 avril. Comme attendu, il affrontera Ségolène ROYAL qui est créditée de 25,84% des suffrages le 6 mai prochain.
Retrouvez la déclaration de Nicolas Sarkozy, pronocée salle Gaveau à l'issue de l'annonce des résultats du premier tour des élections présidentielles, ici
Retrouvez également les résultats aux élections présidentielles de 2002, 1995, 1988, 1981, 1974, 1969 et 1965
Depuis la victoire de Nicolas SARKOZY à la présidence de la république, il y a eu du changement sur notre circonscription.
En effet suite aux résultats déplorables sur Clichy notamment et diverses fautes commises par le Tête de liste UMP de la commune, Mr Balkany a donc décidé de se passer des services de Mr Muzeau en tant que député suppléant.
Celui-ci a donc fait appel aux services de Marie-Claire RESTOU "ancienne championne olympique et conseiller a l'Elysée auprès de JACQUES CHIRAC.
Je tiens donc a vous informer que Mr Muzeau et son équipe ont décidé malgré les statuts de notre parti de se présenter et donc par conséquent de nous entraîner vers une probable défaite de notre candidat officiel " pour lequel Mr Muzeau avait d'ailleurs votais lors du rassemblement pour les investitures législatives!!!!
NE VOUS TROMPEZ PAS IL N'A PAS L'INVESTITURE DE NOTRE PARTI EST DONC? IL N'AI EN AUCUN CAS NOTRE CANDIDAT NI LUI NI SON EQUIPE§§
VOTEZ BALKANY ET VOUS POUVEZ ME JOINDRE À LA PERMANENCE DE LEVALLOIS OU PAR MES COORDONNEES HABITUELLES!!!!
Exemple du courrier envoyé par Mr Muzeau aux instances de L' UMP ( attention aux larmes)
celui qui a écrit ça est un champion ! Dans notre parti politique, nous accomplissons ce que nous promettons. la corruption. Lire maintenant de bas en haut... en commençant par la dernière ligne et en remontant jusqu' au début c'est..... surprenant !!!
Seuls les imbéciles peuvent croire que
nous ne lutterons pas contre
Parce
L'honnêteté et la transparence sont fondamentales pour atteindre nos idéaux.
Nous démontrons que c'est une grande stupidité de croire que
les mafias continueront à faire partie du gouvernement comme par le passé.
Nous assurons, sans l'ombre d'un doute, que
la justice sociale sera le but principal de notre mandat.
Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s'imaginent que
l'on puisse continuer à gouverner
avec les ruses de la vieille politique.
Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que
soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d'influences
nous ne permettrons d'aucune façon que
nos enfants meurent de faim
nous accomplirons nos desseins même si
les réserves économiques se vident complètement
nous exercerons le pouvoir jusqu'à ce que
vous aurez compris qu'à partir de maintenant
nous sommes avec Ségolène Royale, la "nouvelle politique".
La définition d’un Président de la République selon Valérie Pécresse, porte-parole de l’UMP, députée des Yvelines, c’est essentiellement trois choses : une personnalité, un tempérament, et un caractère. (…) mais aussi qu’il sache rassembler les français, qu’il ait le courage et l’énergie de mettre le pays en mouvement. Elle se pose donc, (dans cette article du magazine de l’Union de janvier 2007), légitiment la question quant à savoir si Ségolène Royal en avait l’étoffe Les conclusions n’en sont qu’alarmantes !
Son attitude avec ses adversaires politiques, sa « méthode politique » : une démagogie extraordinaire, l’instrumentalisation de la cause des femmes à son profit…. Tant d’indices qui n’incitent qu’aux doutes quant aux capacités de Ségolène Royal à diriger la France !
Au Chili, elle refuse de saluer son adversaire libéral. A Jérusalem, c’est au tour de Françoise de Panafieu d’essuyer les intolérances et le sectarisme dont fait preuve Ségolène… En somme, comme le résume très bien V. Pécresse, la candidate socialiste a un raisonnement très primaire « celui qui ne pense pas la même chose que moi n’est pas digne de me serrer la main »… Ceci dit nous pouvons nous interroger justement sur ce qu’elle pense… Peut-être est-il plus juste de résumer la situation en ces termes « celui qui n’est pas du même bord politique que moi n’est pas digne de me serrer la main » !! Mais le Président de la République ce n’est pas seulement le Président des socialistes, mais celui de tous les français…. Ne parle-t-elle pas sans cesse de rassemblement et de cohésion? En est-elle vraiment capable au niveau national ?
Sa « « méthode politique » consiste en « vos idées sont les miennes » ». Peut-on faire confiance à une personne qui est incapable d’affirmer et défendre ses idées et qui change d’avis selon son assistance - faisons référence ici au 35h de présence des enseignants qu’elle prône à des militants, mais en s’empressant d’ajouter qu’elle ne le dira jamais ouvertement aux syndicats d’enseignants ; un autre exemple, la question de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, où elle ne s’exprime pas sur le sujet – s’en doute n’a-t-elle pas d’opinion…- et se réfugie derrière l’argument qu’elle « s’en remettra à la décision du peuple français »…. Bref, autant d’exemples qui démontrent là encore l’absence de personnalité, de tempérament et de caractère chez Ségolène ! Comment pourra t-elle dans ces conditions prendre des décisions impopulaires mais nécessaires pour les français et la France, comme la réforme de l’Etat ou des retraites ? Comment pourrait-elle tout simplement assumer le rôle de Chef de l’Etat en étant incapable de se décider, de s’affirmer, de se défendre, d’argumenter, de communiquer …. ?
En résumé, Ségolène Royal, a tout de la potiche parfaite - image souriante et amicale, sans son et sans idée - elle n’a rien d’une future Présidente !
Le logement est l’une des préoccupations premières des Français, particulièrement dans les grandes villes où le prix du mètre carré atteint des niveaux records et où les loyers sont devenus exorbitants. Nicolas Sarkozy, dans une interview accordée à « la vie immobilière » s’est engagé sur deux points.
- il s’appliquera d’abord a aidé les Français à devenir propriétaire de leur logement.
Notre pays a besoin d’une nouvelle politique du logement, à la fois juste, solidaire et conforme aux aspirations des Français.
Il est temps que la puissance publique passe d’une simple logique de moyens à une vraie logique de résultats. Il s’engage à rendre le droit au logement opposable en France, dans un délai de cinq ans. Cette orientation majeure supposerait de revoir totalement le partage des responsabilités et des moyens en matière de logement. Elle exigerait aussi de développer l’offre de logements sur l’ensemble des maillons de la chaîne : de l’hébergement, au locatif social et privé, sans oublier l’accession à la propriété.
Que faut-il faire pour relancer l’accession à la propriété des revenus modestes mais aussi des familles disposant de salaires confortables tenus aujourd’hui à l’écart du marché par des prix très élevés ?
Effectivement, permettre une accession populaire à la propriété, ouverte aux familles modestes et aux classes moyennes, nécessite à présent une action résolue des pouvoirs publics. Dans certains endroits, le prix des terrains s’est envolé. Je propose donc la création d’un nouveau prêt à taux zéro foncier : le ménage qui achète est propriétaire de tout, tout de suite, mais les échéances de ce prêt à taux zéro avec lequel il a acheté le terrain, ne commencent à courir qu’une fois le bâti remboursé.
Je crois qu’il faut ensuite réformer le crédit hypothécaire. Si le recours à l’hypothèque était plus facile, les banques se focaliseraient moins sur la capacité personnelle de remboursement de l’emprunteur et plus sur la valeur du bien hypothéqué. Ceci profiterait alors directement à tous ceux dont les revenus fluctuent, comme les intérimaires et de nombreux indépendants.
Enfin, je pense que la fiscalité doit être adaptée pour encourager l’accession à la propriété. Cela passe par la création d’un crédit d’impôt sur les intérêts des prêts immobiliers pour l’achat de la résidence principale. Cela passe aussi par la suppression des droits de mutation, dès lors que les transactions sont liées à une mobilité imposée, telle que la perte d’emploi, le déménagement professionnel, etc.
Vous avez annoncé vouloir instaurer un cadre fiscal unique pour l’investissement locatif. Pouvez-vous préciser quel serait ce dispositif ?
Pour développer une offre locative adaptée aux besoins des Français, je suis convaincu qu’il nous faut rétablir une relation gagnant–gagnant entre les propriétaires bailleurs et les locataires. J’ai donc proposé de refondre les différents dispositifs fiscaux – les amortissements qui portent le nom des ministres successifs du logement – au profit d’un véritable statut de l’investisseur locatif stable, durable, où les avantages fiscaux pour les bailleurs seraient de plus en plus incitatifs (amortissements, déductions forfaitaires), en fonction de l’utilité sociale des logements ou des avantages consentis aux locataires. A titre d’indication, je souhaite que les incitations soient maximales pour les logements très sociaux et pour les logements étudiants.
Mais il existe, à mes yeux, d’autres éléments dans le rééquilibrage des rapports entre locataires et bailleurs. Je souhaite que nous offrions aux bailleurs une meilleure sécurisation face aux risques d’impayés, grâce à la mise en place d’une garantie des risques locatifs. Je veux aussi que nous accélérions les décisions de justice dans l’intérêt de tous, et que nous cessions de considérer le respect de la loi dans les contentieux de la location comme facultatif. En contrepartie, je souhaite que nous examinions les conditions dans lesquelles le dépôt de garantie et les cautions exigées des locataires – et parfois totalement choquantes – pourraient être supprimés.
Lorsque l’un des artistes les plus engagés à gauche, que celui qui fût le beau-frère de François Mitterrand et que celui qui avait coutume d’accompagner ce dernier dans l’ascension de la Roche de Solutré expriment leurs opinions sur Nicolas SARKOZY cela donne ceci :
- Monsieur Sarkozy, je le connais, c’est un type très sympathique dans la vie et c’est tout sauf un imbécile. Ca m’agace d’entendre dire que c’est un fasciste ou un extrémiste » Pierre ARDITI
- « Sarkozy, lui au moins fait des choses » Roger HANIN qui a déclaré qu’il ne voterait pas pour Ségolène ROYAL
- « Ce Nicolas je l’aime vraiment beaucoup. Il est tout le contraire de ce qu’on dit. C’est un des types les plus chaleureux que je connaisse parmi les politiques » Pascal SEVRAN